Je reviens d'une séance "je shoote dans les feuilles mortes au grand air", j'ai les joues qui picotent et l'écharpe qui me gratte le cou.
Je repars récupérer le bouquin que j'avais commandé à la librairie Olivieri la semaine dernière et qui est arrivé, comme vient de me l'apprendre mon répondeur. Et je reste là bas pour la soirée puisque Nicolas Dickner y est pour une lecture publique d'extraits de son dernier roman.
Ce qui m'amène à vous conseiller de lire "Nikolski", son roman le plus connu : jeune auteur très prometteur, futur référence littéraire québécoise si les petits cochons ne le mange pas avant.