on ne règle pas la souffrance en se vengeant. Ça ne ramène pas les disparus. Aux USA, on a pu voir que si ça fait du bien sur le coup de voir l'assassin de son enfant mourrir devant soit, ça ne change en rien des douleurs infligées.
Et tuer, même un assassin, c'est soit même devenir un assassin. Je ne pourrais jamais être dans un jury qui doit décider de la mort de quelqu'un, aussi odieux soit son crime.
La dessus, je suis bien content de vivre après 1981 en France.