début d'une longue suite mais j'ai l'esprit trop occupé a la pouille alors que 8 lignes pour l'instant
Les cieux , rieurs ,visages de vieux monsieurs
Déversent l'averse moqueuse de jeunes hommes .
A l'angle d'un immeuble , dans l'ombre ,
S'encombrent des feux aux sombres yeux .
A l'honneur de pensées innomables
S'y prennent aux jeux impitoyables
Les mains , les corps, les cordes et l'acier malin
Saignent les jeunes hommes chaque matin .